Adoption : Lavande

Après le décès de mon chaton, j’ai été en contact avec une personne qui devait se séparer de ses chats.

Avant de prendre la décision de faire 300km pour aller voir la chatte de 2 ans qui n’était jamais sortie de son appartement et n’avait jamais vu de chien, j’ai préféré faire une première approche par communication animale.

Lors de la communication avec Lavande, j’ai pu évoquer la situation et lui proposer de venir vivre à la maison ; je l’ai sentie à l’aise avec cette idée et prête à laisser “son frère” ainsi que sa famille actuelle.

Lors de notre arrivée chez elle, Lavande est tout de suite venue nous saluer et m’a fait des câlins “comme si elle me connaissait”, au grand étonnement de son maître. Nous avons posé la cage de transport au milieu du salon pour qu’elle puisse prendre contact avec les odeurs ; Lavande l’a observée de loin pendant quelques minutes, puis elle est rentrée dedans et s’est couchée en attendant le départ

Contrairement à ses habitudes, Lavande a voyagé très calmement et en silence. A son arrivée à la maison, elle a adopté les lieux très rapidement et s’est intégrée au milieu des chiens de manière exceptionnelle.

La communication animale a permis à Lavande de se préparer au changement de vie et nous a aidé à construire une belle relation plus rapidement.

Adaptation : Farine

Farine et Gribouillette ont dû être séparées de leur maîtresse malade ; elles ont été accueillies dans une famille nombreuse (chiens, chevaux, poules et beaucoup de passage).

Après quelques jour d’adaptation fermées dans une pièce, la porte a été ouverte pour que les deux chattes puissent découvrir la nature.

Farine et Gribouillette ont eu bien du mal à s’adapter : inapprochables, elles fuyaient dès qu’elles voyaient un humain et passaient en coup de vent dans leur pièce pour manger.

Ayant réussi à prendre Farine en photo, j’ai pu établir une communication, tenter de lui expliquer la situation et la rassurer un peu.

En quelques jours, Farine a pu s’approcher de sa maîtresse jusqu’à manger dans sa main ; la relation peut désormais se construire.

Accompagnement en fin de vie : U***

U*** est un chien de ferme très âgé qui traîne sa carcasse péniblement.

Une communication avec lui permet d’entendre qu’il attend un signe de reconnaissance pour son travail accompli et les moments agréables qu’il a pu apporter à ses maîtres ; il pourra ainsi partir sereinement.

Ses maîtres avertis ont pu répondre à son besoin, et U*** s’est éteint paisiblement.

Peur : M****

M*** est un petit chien heureux avec sa maîtresse, mais il paraît terrorisé dès qu’il est en société. Sa maîtresse a déjà fait appel à un éducateur canin mais les résultats escomptés ne sont pas au RDV.

La communication animale a permis de mieux comprendre l’attitude de M*** : ce petit chien n’aime pas du tout qu’on le regarde, qu’on s’occupe de lui. Contrairement à ce qu’on aurait pu penser, la peur n’est pas le problème principal.

Comprendre ce petit chien a permis d’orienter les comportements de la maîtresse pour trouver un équilibre ; en se positionnant mieux, elle permet à M*** de se comporter convenablement et de se promener plus sereinement.

Rq : Par respect pour M*** qui n’aime pas être observé, la photo correspond uniquement à sa race.

Accompagnement dans les urgences: Féline

Féline, très mal en point (aucune réaction, aucun tonus musculaire) va passer la nuit chez le vétérinaire ; ses maîtres sont très inquiets, ils pensent à son dernier jour …

Une communication avec elle permet de prendre de ses nouvelles, la sécuriser et rassurer ses maîtres : elle est très fatiguée, mais ne ressent aucune douleur ; elle ne se sent pas partir. Elle exprime son amour pour ses gardiens et son souhait de rentrer au plus vite.

Quelques heures plus tard, le vétérinaire la trouve en bien meilleure forme et décide de la rendre à ses maîtres dès le lendemain matin. Aucune anomalie n’est détectée dans ses résultats médicaux. Féline a repris sa petite vie normale …

Faire face à la mort : Fripon

Fripon était un cocker qui portait bien son nom : plein de vie et d’espièglerie !
A la fin de sa vie, ses souffrances étaient telles que ses maîtres ont dû se résigner à le faire euthanasier ; cette action les a non seulement rendus très malheureux, mais leur a laissé un sentiment de culpabilité difficile à vivre.

La communication animale est possible encore pendant quelques heures après la mort (elle est possible ultérieurement, mais avec une technique différente). Ce laps de temps m’a permis “d’approcher” Fripon.

Le message qu’il a laissé à ses maîtres fut plein d’amour ; il a permis à toute la famille de faire son deuil un peu plus facilement et Fripon parti plus serein.

En fin de vie, avant de prendre une décision importante, n’hésitez pas à demander une communication ; votre action sera adaptée aux besoins immédiats de votre animal et lui comme vous en serez apaisés.

Accepter une contrainte : Ice

Ice a une maladie auto-immune qui risque de le rendre aveugle ; en plus des traitements, les directives sont d’éviter au maximum l’exposition aux UV. Facile à dire …. Je lui ai trouvé un masque adapté (avec des verres traités anti-uv et des teintes différentes en fonction de la luminosité) ; mais après plusieurs mois, Ice ne supportait toujours pas ses lunettes.

Une communication a permis de lui expliquer l’importance de garder ce truc désagréable devant les yeux. Certes, il les enlève encore de temps en temps, mais il les garde de plus en plus et le vit beaucoup mieux.

Quand je vois qu’il a plus de mal à les supporter, je refait une petite communication … et çà repart pour quelques temps !

Evoluer dans la relation :

Jipsy Jipsy est un petit caniche fort sympathique qui pratique des sports canins avec sa maîtresse. Malheureusement, il présente des symptômes d’hyper-attachement à celle-ci, ce qui rend la relation anxiogène (pour tout le monde …).

Lors d’une communication, nous avons compris que Jipsy a cherché à combler un besoin affectif de sa maîtresse qui, à un moment donné, avait besoin “de se sentir utile”. Même si la propriétaire a avancé dans son cheminement personnel, le petit chien a conservé le rôle qu’il s’était donné à l’origine.

Comprendre le but initial de Jipsy a permis à chacun de reprendre sa place et la relation s’apaise.

Améliorer une relation : Circe

Circe est une jument sensible dont les comportements se dégradent (signes de stress plus présents, instabilité, plus difficile à monter …).
Son pré étant mal desservi en “petites routes”, sa propriétaire doit régulièrement l’embarquer dans le van afin de pouvoir se promener avec elle ; les chargements et déchargements sont de plus en plus compliqués.

Une communication permet de comprendre que le stress ressenti par la propriétaire de Circe (à cause des ses comportements qui peuvent devenir dangereux) provoque un sentiment de grande insécurité chez la jument. L’angoisse de Circe est amplifiée par le transport ; mais je ne sens pas un stress lié au voyage lui-même, mais plutôt à l’inconnu de la destination. En approfondissant un peu la question avec elle, je comprends le problème : Circe est issue du milieu des courses, et elle a associé le chargement des chevaux qui donnent insatisfaction … à leur disparition ! (effectivement, s’ils ne conviennent pas à la course, ils sont revendus). Du coup, relation tendue + transport = panique !

Après explication de ces éléments à la propriétaire, celle-ci a pu rassurer Circe par des comportements plus posés et plus fermes, lui indiquer la destination des trajets et le tour est joué !

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